De moins en moins.
Mais il y a eu une période (après-guerre) où l'Eglise catholique a plutôt poussé à l'émancipation des femmes. Mais il y a un gros revirement en arrière depuis Jean-Paul II. Enfin, j'en saurai plus quand j'aurai lu le bouquin

Les Missyclettes reflètent la femme d’aujourd’hui, la jeune fille, de la fillette à la maman, la working girl sensible aux nouvelles
tendances, la femme fidèle à la tradition.
C’est une communauté, une appellation qui fédère, qui rassemble et qui sensibilise à la pratique du vélo.
Les Missyclettes représentent des valeurs : la liberté, l’autonomie, le sport, la santé, la douceur, la convivialité, le challenge, le partage.
C'est sans doute une question de génération.Nicknackpadiwak a écrit : ↑31 juil. 2019 20:49
Si, si, j’en ai parlé après avec ma copine et elle a compris mon point de vue. Par contre, j’ai du mal à imaginer la conversation surréaliste si j’avais envisagé d’en discuter avec ma belle-mère….. Elle qui trouve que JP Pernault est « quelqu’un de bien », qui suit « Un Si grand Soleil » assidûment et au premier degré, qui trouve Michael Gregorio « génial », Zaz « marrante » (ça, je ne lui pardonnerai jamais) et qui parle du couple qui loue le gite de nos vacances comme « le propriétaire et sa dame », essayer de lui amener l’ombre de l’idée que la télé qu’elle regarder religieusement n’est pas qu’un simple divertissement inoffensif, c’est comme gravir l'Everest en tong.
Nicknackpadiwak a écrit : ↑31 juil. 2019 20:49Si, si, j’en ai parlé après avec ma copine et elle a compris mon point de vue. Par contre, j’ai du mal à imaginer la conversation surréaliste si j’avais envisagé d’en discuter avec ma belle-mère….. Elle qui trouve que JP Pernault est « quelqu’un de bien », qui suit « Un Si grand Soleil » assidûment et au premier degré, qui trouve Michael Gregorio « génial », Zaz « marrante » (ça, je ne lui pardonnerai jamais) et qui parle du couple qui loue le gite de nos vacances comme « le propriétaire et sa dame », essayer de lui amener l’ombre de l’idée que la télé qu’elle regarder religieusement n’est pas qu’un simple divertissement inoffensif, c’est comme gravir l'Everest en tong.Marie-Louise a écrit : ↑31 juil. 2019 09:54Eh ben...![]()
Tu en as parlé avec les autres, après ? Pour essayer de leur faire comprendre qu'un mec qui ne tue pas sa femme parce qu'elle a tué ses gosses mais parce qu'elle l'a repoussé, c'était un peu problématique ?
Je crois que c'est pendant ma première grossesse et après la naissance de ma fille que j'ai ressenti de plein fouet pour la première fois le sexisme de notre société. Enfin, il y avait déjà un peu le monde de l'entreprise, mais j'étais prévenue. Quand je suis devenue mère ça m'a pris au dépourvu. De la part des deux extrêmes d'ailleurs, parce qu'il y avait d'un côté les "adorateurs du rôle de la mère" pour qui une femme ne peut s'épanouir qu'en changeant des couches (je schématise) et qui offraient des poupons à ma fille (elle en a eu 8 (!!!)), et de l'autre la déception des "adorateurs de la femme moderne (TM)" qui ne comprenaient pas que j'ai choisi d'avoir des enfants aussi jeune, pour qui je m'enfermais dans un rôle de mère de famille. Ironiquement, ces gens là sont maintenant coincés chez eux par leurs enfants tandis que moi je peux m'épanouir dans mon boulot et dans mes loisirs parce que mes enfants sont désormais grands et indépendants...Jo_ a écrit : ↑01 août 2019 10:31C'est sans doute une question de génération.Nicknackpadiwak a écrit : ↑31 juil. 2019 20:49
Si, si, j’en ai parlé après avec ma copine et elle a compris mon point de vue. Par contre, j’ai du mal à imaginer la conversation surréaliste si j’avais envisagé d’en discuter avec ma belle-mère….. Elle qui trouve que JP Pernault est « quelqu’un de bien », qui suit « Un Si grand Soleil » assidûment et au premier degré, qui trouve Michael Gregorio « génial », Zaz « marrante » (ça, je ne lui pardonnerai jamais) et qui parle du couple qui loue le gite de nos vacances comme « le propriétaire et sa dame », essayer de lui amener l’ombre de l’idée que la télé qu’elle regarder religieusement n’est pas qu’un simple divertissement inoffensif, c’est comme gravir l'Everest en tong.
J'ai le même problème avec mes parents, qui peuvent parfois être assez ouverts ("fais le travail qui te plaît, pour être indépendante et n'être attachée à personne") ou complètement obtus ("pour votre enfant, c'est toi qui prendras le congé parental hein ?" ils n'envisagent même pas que ça puisse être Manew qui le prenne).
Et pendant ce temps... signalée par mes amis fans de vélo, ma nouvelle héroïne, Fiona Kolbinger :Altaïr a écrit : ↑01 août 2019 09:42Oh, ça c'est joli aussi : https://ellesfontduvelo.com/2019/07/les ... ar-la-ffc/
ça a l'air cool la fédération française de cyclisme![]()
Les Missyclettes reflètent la femme d’aujourd’hui, la jeune fille, de la fillette à la maman, la working girl sensible aux nouvelles
tendances, la femme fidèle à la tradition.
C’est une communauté, une appellation qui fédère, qui rassemble et qui sensibilise à la pratique du vélo.
Les Missyclettes représentent des valeurs : la liberté, l’autonomie, le sport, la santé, la douceur, la convivialité, le challenge, le partage.
Tu te souviens de l'épisode en question ? Cela m’intéresserait de jeter un oeil au passage en question pour me faire une opinion non biaisée par ton message.Nicknackpadiwak a écrit : ↑30 juil. 2019 22:26Je passe mes vacances en Val-et-Cher avec mes beaux-parents.
Voilà, j’ai laissé passer la minute de silence et je peux commencer à raconter mon anecdote. Donc hier, je me suis retrouvé devant la télé à regarder la fin d’un épisode de Nicolas le Floch. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’une fiction française, faite d’enquêtes policières se passant dans les années 1760. Pour ceux qui veulent regarder l’épisode, attention, je vais spoiler.
Donc dans cette série, il s’agissait d’une meurtrière qui avait empoisonné les enfants de son mari pour toucher l’héritage. Nico l’avait fait démasquer en lui faisant croire qu’elle venait d’être empoisonnée et elle avait avoué ses crimes, cette naïve (mal, car l’actrice joue comme une patate).
Donc voilà, ans une des dernières scènes, la bougresse est en prison et son mari lui rend visite. Et on sent que celui-ci est presque prêt à lui pardonner le meurtre de ses enfants. Mais lorsque sa femme lui confesse ne pas l’aimer et être amoureuse d’un autre, c’est en trop et le mari la tue. Bam. Comme ça. Et voilà, qu’en 2019, on vient de voir en toute tranquillité et en mode normal, un féminicide, le meurtre d’une femme par son mari car celui-ci refuse qu’elle ne soit pas qu’un objet à sa disposition et qu’elle puisse éprouver lui échapper. Et personne chez moi n’a été choqué, c’était limite bien fait pour elle, alors que c’était d’une rare violence (pas graphique certes).
Ah, l’effrayant quotidien de la télé et de ces produits standardisés qui véhiculent l’air de rien des idées nauséabondes….
Mouais, mi-figue mi-raisin quoi. C'est à moitié condamné mais pas trop, moitié justifié par le contexte historique mais pas forcément non plus, charge à celui qui voudra de prendre ce qui l'arrangera le mieux... Dommage.
Désolé, je ne te suivrais pas sur ce coup là Gizmo
C'est de la politique. Tu peux pas comprendre